Donald Trump, ancien président des États-Unis, a marqué un tournant dans la diplomatie américaine au Moyen-Orient en déplaçant l’ambassade de Tel-Aviv à Jérusalem. Ce geste fort a non seulement scellé un nouvel axe avec Israël, mais a aussi souligné l’engagement profond de Trump envers l’État hébreu. Désormais de retour à la Maison-Blanche, ce deuxième mandat pourrait pousser plus loin cette alliance, ravivant les espoirs d’un appui américain renouvelé face aux défis sécuritaires de la région.
Dans un contexte de tensions croissantes entre Israël et ses voisins, notamment après plusieurs conflits à Gaza et des escalades au Liban, le retour de Trump est perçu par le gouvernement israélien comme un gage de stabilité et de soutien infaillible. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, n’a pas tardé à célébrer cette victoire, parlant d’un « retour historique » qui pourrait offrir de nouvelles opportunités pour une coopération renforcée dans les secteurs de la défense, de la technologie et des relations stratégiques.
Ce renouveau dans la diplomatie américano-israélienne est porteur de nombreuses attentes pour Israël. Avec un président américain engagé dans une politique de soutien ferme, Israël espère non seulement consolider ses acquis régionaux mais aussi étendre sa marge de manœuvre pour répondre aux menaces émergentes. Pour beaucoup, ce nouveau mandat s’annonce comme un tournant décisif, promettant une phase de collaboration qui pourrait redessiner les alliances au Moyen-Orient.