L'horreur a frappé Gaza une fois de plus. Une école gérée par l'UNRWA, où s'étaient réfugiées des milliers de familles fuyant les combats, a été touchée par une frappe aérienne israélienne. Le bilan est tragique : 18 morts, dont six employés des Nations Unies, présents pour assurer la protection des civils. Le bâtiment, clairement identifié comme une zone humanitaire, servait d'abri à plus de 12 000 personnes déplacées.
L'attaque a provoqué une vague d'indignation internationale. Le secrétaire général de l'ONU, a dénoncé une violation flagrante du droit humanitaire, rappelant que les zones humanitaires doivent être respectées par toutes les parties au conflit.
Pour les survivants, la vie à Gaza est marquée par la peur et l'incertitude. Ce nouveau drame vient alourdir un bilan déjà insoutenable, où les civils paient le plus lourd tribut du conflit en cours. Le monde entier regarde avec stupeur cette tragédie, espérant qu'une solution durable puisse émerger avant que d'autres vies ne soient brisées.