Selon des informations concordantes, au moins cinq jeunes joueuses, âgées entre 16 et 18 ans, auraient été victimes d'actes odieux commis par des encadreurs de l'équipe nationale.
Ces accusations choquantes font suite à une lettre ouverte publiée récemment par une joueuse professionnelle dénonçant les "droits de cuissage" et les "débauches organisées" au sein de la Fédération. Elle pointait du doigt le président de la FVB, l'accusant d'entretenir des relations sexuelles avec des joueuses, y compris pendant les compétitions, et dénonçait également les agissements déplacés de certains entraîneurs.
Le journaliste sportif Richard Naha a corroboré ces informations, affirmant que cinq jeunes volleyeuses mineures sont actuellement enceintes des œuvres de responsables de la FVB censés les encadrer et les protéger. Ces révélations ont déclenché une onde de choc au sein de la communauté sportive camerounaise et soulèvent de nombreuses questions sur les dérives qui semblent gangréner la FVB.