Aya Nakamura vient d’aligner un exploit rarissime : écouler 240 000 places en un éclair pour trois dates au Stade de France. Avec ce triplé, la star confirme son statut de phénomène mondial et s’offre l’enceinte la plus mythique de l’Hexagone trois soirs de suite. Un symbole fort : celui d’une artiste qui, sans détour, transforme l’élan populaire en record annoncé, et hisse la pop francophone au sommet des grandes scènes internationales.
Tout est allé très vite. Après l’annonce d’une troisième date — clin d’œil à la punchline de Kylian Mbappé : « Pas contents ? Triplé » — la billetterie ouverte à midi a été prise d’assaut. Les 29, 30 et 31 mai 2026, Saint-Denis vibrera au rythme de « Djadja », « Pookie » et des nouveaux hymnes d’une artiste qui se produit rarement mais toujours au bon moment. Deux premières soirées envolées dès les préventes, une troisième arrachée en quelques heures : la dynamique est claire, la ferveur totale.
Au-delà des chiffres, l’événement a la portée d’un jalon culturel. Aya Nakamura s’impose comme la première artiste féminine française à enchaîner trois soirs d’affilée au Stade de France, dans le sillage des plus grandes. C’est la consécration d’une trajectoire singulière et d’une influence qui dépasse les frontières : une voix, un style, une vision scénique attendue XXL. Rendez-vous fin mai 2026 pour un triptyque qui s’annonce déjà historique.